Zviane

Pow Pow

18,00

Un homme et une femme sont en vacances dans un chalet qui n’est pas le leur, dans un pays qui n’est pas le leur. Ils sont confinés à l’intérieur à cause de la pluie, ils ne savent même pas quelle heure il est. Comme par l’embrasure d’une porte, nous sommes témoins du temps suspendu, du bruissement de la pluie dans la forêt, du goût de la sueur séchée sur leur peau, des mots amoureux qu’ils se chuchotent, mais qui cachent autre chose: dans cette limite floue entre ce qui est un jeu et ce qui ne l’est pas peut se dissimuler une bataille sans merci entre le rationnel et l’irrationnel.


Brigitte Archambault

Mécanique générale

21,00

Dans un bungalow dont la cour est ceinte par une muraille infranchissable, une femme a été élevée, seule, par un écran parlant omniscient, mais qui ne dit pas tout. Sans autre connaissance du monde extérieur ni encadrement que ce que lui a appris ce dernier, elle ignore tout des causes de son existence. Et si cette femme tentait d'échapper à la surveillance constante de cet écran qui épie ses gestes ? Que pourrait-elle trouver de l'autre côté du mur ? Avec sa mise en scène distanciée et son graphisme faussement didactique, l'autrice présente le quotidien modèle de la banlieue comme une prison hygiénique, non sans humour, mais surtout comme un tableau troublant de nos vies contemporaines, où notre animalité et nos pulsions sont contrôlées ou étouffées par une machine dont nous sommes dépendants. À travers cette femme, dont on ne connaît ni le nom ni l'âge, l'autrice pousse les dérives de notre société contemporaine à leur paroxysme et transforme le lecteur en voyeur, témoin de l'isolement.


25,00

Paul à la maison est le 9e tome de la série. Cette fois-ci, l'action de déroule en 2012, Paul est auteur de bande dessinée à temps plein et lance un nouvel ouvrage au Salon du livre de Montréal. Entretemps, sa fille part travailler en Angleterre, Lucie n'habite plus avec lui et sa mère ne va pas bien... Paul à a maison traite du deuil, sous de multiples formes. Un album émouvant.


18,00

Michel Hellman devait terminer un livre intitulé Mile End 2. Il s’est donc rendu à Kuujjuaq, Kangiqsujuaq, Kangirsuk puis Puvirnituk… pour revenir de son voyage avec un livre intitulé Nunavik.