- EAN13
- 9782877605199
- ISBN
- 978-2-87760-519-9
- Éditeur
- Livre d'histoire
- Date de publication
- 12/2004
- Collection
- MVVF
- Dimensions
- 20 x 14 cm
- Poids
- 701 g
- Fiches UNIMARC
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En 1304, la vicomté d'Auvillar appartenait à Philippe V, fils de Philippe le Bel. Quinze ans plus tard, elle était réunie au comté d'Armagnac. A la mort de Jean V d'Armagnac, tous ses domaines furent confisqués; Auvillar fut rattaché à la couronne. En 1438, Charles d'Armagnac recouvrait ses terres. Sous le règne d'Henri IV, les domaines des Armagnacs furent définitivement réunis à la couronne. A travers ce bref aperçu on comprendra qu'Auvillar connut un passé mouvementé et glorieux. Elle était d'ailleurs totalement fortifiée. « Les murailles étaient flanquées de tours et de bastions. Une des tours, la plus élevée, fut abattue sur ordre supérieur par les révolutionnaires de 1794, et le dernier des bastions a été démoli en 1839 », écrit A. Lagrèze-Fossat, dans son ouvrage publié en 1868.
L'auteur nous fait découvrir les nombreux vestiges gallo-romains qui attestent de l'antique régime de la ville : Statuette, médailles, monnaies... Il fait revivre les seigneurs du lieu, les vicomtes du Lomagne et d'Auvillar. L'un d'eux, Sayet, donna à la ville ses coutumes au XIIe siècle.
Dans cet ouvrage, Lagrèze-Fossat nous transmet le texte en roman, écrit en 1265 par Me Pierre de Carbiran, notaire de Lectoure, et sa traduction. Les habitants d'Auvillar, à l'aube de l'an 2000, retrouveront avec émotion les règles anciennes qui régissaient la vie de leurs ancêtres : les droits de boucherie, de port, le commerce des vins, très surveillé punition de l'adultère par confiscation des biens.
L'auteur nous fait découvrir les nombreux vestiges gallo-romains qui attestent de l'antique régime de la ville : Statuette, médailles, monnaies... Il fait revivre les seigneurs du lieu, les vicomtes du Lomagne et d'Auvillar. L'un d'eux, Sayet, donna à la ville ses coutumes au XIIe siècle.
Dans cet ouvrage, Lagrèze-Fossat nous transmet le texte en roman, écrit en 1265 par Me Pierre de Carbiran, notaire de Lectoure, et sa traduction. Les habitants d'Auvillar, à l'aube de l'an 2000, retrouveront avec émotion les règles anciennes qui régissaient la vie de leurs ancêtres : les droits de boucherie, de port, le commerce des vins, très surveillé punition de l'adultère par confiscation des biens.
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