Les continents sont des radeaux perdus

Réunir en un seul volume les plus beaux poèmes de la trilogie qui a valu le Goncourt de la poésie à Yvon Le Men, c’est glisser un passeport dans la sacoche du lecteur. Ici, les mots nous invitent au voyage. D’abord dans le Trégor, le pays d’enfance, puis dans les paysages infiniment diversifiés que nous offre le monde. Le poète relie les pays et les langues, la terre et le ciel, l’immense et l’infime. Et s’il part, c’est pour revenir, le regard empli d’autres promesses.

En supplément, une postface fraternelle de Bruno Doucey et un libre accès à un enregistrement du texte par l’auteur.