- EAN13
- 9782738195470
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 12/02/2009
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Odile Jacob 27,90
Cyclones, inondations, incendies se succèdent à un rythme accéléré depuis
quelques années. L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols qui
nous nourrissent continuent de se dégrader, sans parler du climat qui se
réchauffe, de l’énergie qui se raréfie et de la biodiversité qui se réduit.
Tout le monde, ou presque, s’accorde aujourd’hui pour reconnaître qu’il y a
urgence ; mais, concrètement, que peut-on faire, à l’échelon individuel,
national ou international ? Quelles sont les priorités, quels sont les
obstacles ? Quelles sont les échéances raisonnables ? Quels sont les
programmes réalistes ?Réagir efficacement, ce n’est pas lancer des anathèmes
contre la mondialisation, faucher des cultures expérimentales ou préconiser
l’arrêt de toutes les centrales nucléaires. C’est, au contraire, retourner, au
profit de la nature, les deux grands instruments qui ont, parfois, contribué à
la détruire : une science bien comprise, qui offre de multiples promesses, et
une économie qui ne demande qu’à faire jouer ses lois en faveur de
l’environnement, pourvu qu’on valorise, comme il convient, les productions
écologiques. Professeur à Sciences-Po Paris, spécialiste des questions
d’économie et d’environnement, Philippe Jurgensen dirige aujourd’hui
l’Autorité de contrôle des assurances.
quelques années. L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols qui
nous nourrissent continuent de se dégrader, sans parler du climat qui se
réchauffe, de l’énergie qui se raréfie et de la biodiversité qui se réduit.
Tout le monde, ou presque, s’accorde aujourd’hui pour reconnaître qu’il y a
urgence ; mais, concrètement, que peut-on faire, à l’échelon individuel,
national ou international ? Quelles sont les priorités, quels sont les
obstacles ? Quelles sont les échéances raisonnables ? Quels sont les
programmes réalistes ?Réagir efficacement, ce n’est pas lancer des anathèmes
contre la mondialisation, faucher des cultures expérimentales ou préconiser
l’arrêt de toutes les centrales nucléaires. C’est, au contraire, retourner, au
profit de la nature, les deux grands instruments qui ont, parfois, contribué à
la détruire : une science bien comprise, qui offre de multiples promesses, et
une économie qui ne demande qu’à faire jouer ses lois en faveur de
l’environnement, pourvu qu’on valorise, comme il convient, les productions
écologiques. Professeur à Sciences-Po Paris, spécialiste des questions
d’économie et d’environnement, Philippe Jurgensen dirige aujourd’hui
l’Autorité de contrôle des assurances.
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