Quelles sont les âmes féroces dont Marie Vingtras nous raconte l’histoire dans sa nouvelle publication, déjà couronnée du fameux Prix Fnac 2024. Encore une fois, l’écrivaine décrit un univers, une petite ville dans l’Amérique profonde, sans histoire, juste un crime sordide qu’il faut résoudre.
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Le courage des innocents de Véronique Olmi frappe fort pour décrire l’innocence bafouée des enfants pris en charge en France par L’ASE (Aide Social à l’enfance) et laissés sans soutien, ni aide à 18 ans. Un quart des SDF qui vivent dans la rue sont des jeunes suivis préalablement par l’ASE. Véronique Olmi montre comment le système éclate du nombre de cas suivi et du manque de moyens.
Certains diront « encore » ! D’autres s’y plongeront avec avidité, remerciant Véronique Olmi par ses fictions d’analyser encore et encore si justement notre monde !
Que peut la littérature, nous demande roman après roman l’écrivaine ?
Contribue-t-elle à l’éveil des consciences ?
Évidemment !
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https://vagabondageautourdesoi.com/2024/09/19/veronique-olmi-le-courage-des-innocents-rl2024/
Justin Morin décrit un fait divers dans son livre « On n’est plus des gens normaux » en ajoutant toute sa sensibilité pour raconter les faits et analyser ses ressentis. En effet, ce sont les liens qui unissent les protagonistes, notamment des deux principales familles qui sont touchées par le drame, qui y sont relevés. Avec beaucoup de sensibilité, Justin Morin allie journalisme et fiction pour détailler les liens familiaux invisibles qui relient les membres d’une même famille, visibles lorsqu’un drame percute la vie de gens normaux. Un premier roman particulièrement réussi !
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Jean-Noël Orengo présente son nouveau roman « Vous êtes l’amour malheureux du Fuhrer », qui reprend le récit d’Albert Speer et l’ausculte à la lumière de l’Histoire.
Difficile de penser qu’un proche du Führer n’ait rien su. Seulement, le récit servi au procès évita à Speer la peine capitale et lui permit de vivre tranquillement, adulé même, après son emprisonnement. Évidemment, le vertige envahit le lecteur…
En décortiquant les arguments d’une autofiction inventée, Jean-Noël Orengo illustre les conséquences de la falsification de la vérité, tellement reprise actuellement. Mais, c’est aussi une véritable réflexion littéraire que Jean-Noël Orengo livre sur autofiction et réalité et autofiction et Histoire.
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Tous les ingrédients pour un bon polar sont posés. Sauf qu’il m’a manqué un souffle de fièvre, d’urgence ou de démesure. Est-ce de connaître le meurtrier, de savoir qu’il ne fut jamais arrêté dès le début ? Mauvais moment, certainement ! En tout cas, dommage pour moi, car j’aurais aimé me perdre dans les intrigues d’un bon moment de lecture. Bref, je me suis ennuyée et lorsque je m’ennuie, je pose et passe à autre chose !
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