Manon B.

Conseillé par (Libraire)
6 février 2022

« Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance », autrement dit : Bienvenue à Pandémonium, capitale de l’Enfer et fief des pires crapules, démons et zombies en tout genres !

Darius est un démon, ado rebelle de 195 ans, il commence à en avoir sa claque de l’Enfer, il fait trop chaud, les gens qui crient dès le matin, pour dormir c’est pas top et voir constamment des têtes coupés, juste beurk...
Mais ce n’est pas tout ! Depuis la disparition de Lucifer, le poste de grand patron de l’Enfer est vacant jusqu’au jour où le Grand prêtre de la Faucheuse, s’autoproclame roi.
S’en prenant à Darius, ce dernier n’aura d’autre solution que de se réfugier loin de Pandémonium, sur Terre.

Une histoire décalée, aux personnages à la langue accélérée. Des situations burlesques surtout pour les personnages humains de l’histoire, un univers bien fun et un épilogue qui m’a fait rire mais rire...
Dès 14 ans.

Conseillé par (Libraire)
6 février 2022

Paris, XVIIIe siècle,

Térence est un rescapé. Retrouvé nourrisson recouvert par la neige, lors d’un hiver des plus froids, il fut sauvé par sœur Marie des anges, fille de la charité.
Élevé à l’hôpital des enfants trouvés, Térence, âgé alors de 13 ans, va à son tour sauver un enfant abandonné. Ce dernier ayant pour tout objet personnel une feuille de papier vierge, du beau papier que peu de familles peuvent se procurer.
Le prenant sous son aile, Térence part à la recherche de la famille de son petit protégé. Dans son investigation, il croisera bien du monde dont Louyze, une jeune fille trouvée, un mystérieux homme qui semble suivre Térence dans les rues de Paris ainsi qu’un certain monsieur prénommé Voltaire.

A lire pour les amateurs d’enquêtes, les petits curieux fans d’histoire et du Paris du XVIIIème.
Dès 11 ans.

Chez la famille alonzi

Poulpe Fictions

9,95
Conseillé par (Libraire)
30 janvier 2022

Découvrez la loufoque famille Alonzi, dès 9 ans.

A Canelle, petit village que seuls les meilleurs embobineurs du monde connaissent, un drame est sur le point d’éclater : la médiathèque va disparaître. Adieu livres, DVD, jeux vidéos et jeux de société adorés. Pour les Alonzi, 5 frères et sœurs roublards qui n’ont pas froid aux yeux, c’est une véritable catastrophe. Comment feront-ils sans leur médiathèque, eux qui ont seulement trois pauvres pièces d’argent de poche.
La société « Bobards et compagnie » naquit ainsi au milieu de ces enfants qui mentent plus vite que leurs ombres.

Si vous avez oublié de faire vos devoirs, avez malencontreusement renversé le vase de mamie, ou encore que vous n’avez pas pu vider le lave vaisselle, envoyer un mail à Bobards et compagnie à contact@bobardsetcie.com
N’hésitez pas, les meilleurs c’est eux :
Faites appel à Bobards et Cie : « Parce qu’un bon mensonge peut vous sauver la vie. »

14,90
Conseillé par (Libraire)
30 janvier 2022

« Papa s’est perdu mais il va revenir. Parce que les grands savent les chemins.»

Elle n’avait que 3 ans quand son papa est parti. Elle pensait qu’il s’était perdu, perdu à vélo et qu’il reviendrait.
Sa mère a fini par lui avouer qu’il était mort, son cœur s’est arrêté. Elle ne le reverrait plus.
Dans la première partie de l’histoire, nous découvrons l’histoire du point de vue de l’enfant. D’une écriture naïve, brève et innocente, la petite Anna se fait balloter par sa mère de foyer en foyer mais jamais trop longtemps. De la mer d’où elle parlait à son père, jusqu’à Buenos Aires.

Quelques années plus tard, Anna devenue grande ne se rappelle plus de l’enfant qui a perdu son père et qui a failli perdre sa mère. Seul le sentiment de manque lui fait comprendre que quelque chose ne va pas ainsi que son besoin de comprendre, de tout comprendre.

Anna est une fille de disparus, son père est une de ces victimes de disparition forcée pendant la dictature militaire en Argentine, qui a eu lieu entre 1976 et 1983. La « guerre sale » a causé près de 30 000 « desaparecidos », tous des opposants militaires fusillés ou emprisonnés à vie, des exilés, mêmes des enfants ont été enlevés afin d’être placés dans une « meilleure » famille.

Un récit important, le texte a beau être court, il n’en reste pas moins percutant et accessible dès 12 ans.

Rosemonde - tome 1

Albin Michel

9,90
Conseillé par (Libraire)
26 janvier 2022

"-Rosemoooonde ?!!"

"-Il n'y a plus de Rosemonde, ici."
Cela donne le ton. Rosemonde en a marre de son prénom. Elle en veut plus, ça fait "mémère" et même si un colis est arrivé à son nom. Non, non et non, il n'y a plus de Rosemonde ici !
Son fidèle acolyte, Charlus, le chien, s'interroge d'abord puis saisit l'opportunité, lui qui a toujours rêvé d'un nom composé, le voici devenu Charlus-Rosemonde, voilà qui est chic !
La fille-qui-ne-veut-plus-s'appeler-Rosemonde et Charlus-Rosemonde partent alors en balade, que c'est énervant tous ces gens qui se trompent de prénom !

Une histoire drôle, dédiée à tous ceux qui n'aiment pas leurs prénoms.
Moralité : Même si vous avez votre prénom en horreur, il y a toujours quelqu'un qui préférera le vôtre au sien !
Dès 4 ans.

Découvrez également la suite de leur aventure dans "Tout simplement superstar".