- EAN13
- 9782846823319
- ISBN
- 978-2-84682-331-9
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 02/01/2010
- Collection
- Essais
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 20,5 x 15,6 x 2,4 cm
- Poids
- 409 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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L'accusation de plagiat peut-être l'archétype du l'accusation littéraire, une tentative de meurtre symbolique, qui réussit parfois. Ce Rapport de police étudie les attaques des dénonciateurs ; et aussi, d'Apollinaire à Zola, de Freud à Mandelstam, de Daphné Du Maurier à Paul Celan, les réactions des accusés.
La plagiomnie - la calomnie plagiaire - manifeste une surveillance de la fiction, qui passe par la notion de crime, voire de blasphème, et pose la question du sacré en littérature.
C'est cette surveillance, qui vaut pour toute écriture non appropriée, dont est retracée ici la longue histoire, de Platon au goulag.
La plagiomnie - la calomnie plagiaire - manifeste une surveillance de la fiction, qui passe par la notion de crime, voire de blasphème, et pose la question du sacré en littérature.
C'est cette surveillance, qui vaut pour toute écriture non appropriée, dont est retracée ici la longue histoire, de Platon au goulag.
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Les Tchats de Libération
Accusée à deux reprises de plagiat, Marie Darrieussecq a voulu dans «Rapport police» (P.O.L.) comprendre ce qui lui était arrivée et, bien sûr, se défendre de cette accusation renouvelée. Elle a répondu aux questions des lecteurs de Libération.