- EAN13
- 9782821850446
- Éditeur
- Institut de recherche sur le Maghreb contemporain
- Date de publication
- 18/12/2014
- Collection
- Connaissance du Maghreb
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La justice française et le droit pendant le protectorat en Tunisie
Institut de recherche sur le Maghreb contemporain
Connaissance du Maghreb
Longtemps restées, pour l’essentiel, l’apanage des historiens du droit et des
chartistes, les archives judiciaires suscitent désormais un intérêt bien au-
delà de ces cercles spécialisés, en particulier chez les historiens en quête
de nouveaux objets. Et d’Europe les travaux s’étendent désormais aussi aux
colonies et aux protectorats, dont les archives sont progressivement
accessibles. La présente étude sur La justice française et le droit pendant le
protectorat en Tunisie s’inscrit dans ce mouvement de recherche global et
particulier. Le système judiciaire du protectorat de la France en Tunisie
(1883-1956) est ici étudié dans son ensemble, tant en ce qui concerne ses
acteurs (statuts des magistrats) que le fonctionnement des institutions
(hiérarchie des ordres judiciaires et contrôle). Les contributions des
différents auteurs montrent comment la Tunisie a pu servir de laboratoire
d’expérimentation, les autorités ayant instauré ce protectorat de manière
empirique. Les auteurs s’interrogent également sur l’exportation vers d’autres
pays, voire vers la Franc, de certaines solutions pragmatiquement dégagées à
partir du cas tunisien.
chartistes, les archives judiciaires suscitent désormais un intérêt bien au-
delà de ces cercles spécialisés, en particulier chez les historiens en quête
de nouveaux objets. Et d’Europe les travaux s’étendent désormais aussi aux
colonies et aux protectorats, dont les archives sont progressivement
accessibles. La présente étude sur La justice française et le droit pendant le
protectorat en Tunisie s’inscrit dans ce mouvement de recherche global et
particulier. Le système judiciaire du protectorat de la France en Tunisie
(1883-1956) est ici étudié dans son ensemble, tant en ce qui concerne ses
acteurs (statuts des magistrats) que le fonctionnement des institutions
(hiérarchie des ordres judiciaires et contrôle). Les contributions des
différents auteurs montrent comment la Tunisie a pu servir de laboratoire
d’expérimentation, les autorités ayant instauré ce protectorat de manière
empirique. Les auteurs s’interrogent également sur l’exportation vers d’autres
pays, voire vers la Franc, de certaines solutions pragmatiquement dégagées à
partir du cas tunisien.
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