- EAN13
- 9782376870272
- Éditeur
- Éditions EMS
- Date de publication
- 06/04/2017
- Collection
- Versus
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Malaise dans la société de consommation
Essai sur le matérialisme ordinaire
Richard LADWEIN
Éditions EMS
Versus
Autre version disponible
-
Papier - EMS Geodif 14,50
Pourquoi sommes-nous (presque) tous un peu matérialistes ? Les biens matériels
occupent une place incroyable dans nos vies. En consommant, l’individu dessine
les contours de sa vie, la modèle selon un schéma qui lui est propre.
Consommer beaucoup, ou plus que nécessaire, c’est être matérialiste. Mais peu
de personnes acceptent de se considérer comme matérialistes. Pourtant dans les
pays développés un matérialisme diffus se répand dans toutes les couches de la
société. Un petit pas grand-chose qui fait que l’on consomme un peu trop. Ce
petit pas grand-chose, nous l’avons appelé le matérialisme ordinaire. L’objet
de cet essai est de déconstruire les rouages de la relation que nous
entretenons avec nos possessions matérielles. Comment et pourquoi nous
attachons-nous à certains objets et pas à d’autres et pourquoi achetons-nous
systématiquement un peu trop de biens matériels ? Quelles relations
existe-t-il entre le matérialisme, les différentes formes de consommation, la
construction identitaire et les valeurs des individus dans un environnement
social incertain ? Que penser de la socialisation économique et des questions
de société que pose le matérialisme ? Telles sont les questions fondamentales
posées dans cet essai qui nous permettront de mettre en évidence la logique et
la dynamique du matérialisme ordinaire dans la vie quotidienne.
Des prolongements à cet ouvrage pourront être trouvés sur le site www.culture-
materielle.com.
*[XIXe]: Dix-neuvième
occupent une place incroyable dans nos vies. En consommant, l’individu dessine
les contours de sa vie, la modèle selon un schéma qui lui est propre.
Consommer beaucoup, ou plus que nécessaire, c’est être matérialiste. Mais peu
de personnes acceptent de se considérer comme matérialistes. Pourtant dans les
pays développés un matérialisme diffus se répand dans toutes les couches de la
société. Un petit pas grand-chose qui fait que l’on consomme un peu trop. Ce
petit pas grand-chose, nous l’avons appelé le matérialisme ordinaire. L’objet
de cet essai est de déconstruire les rouages de la relation que nous
entretenons avec nos possessions matérielles. Comment et pourquoi nous
attachons-nous à certains objets et pas à d’autres et pourquoi achetons-nous
systématiquement un peu trop de biens matériels ? Quelles relations
existe-t-il entre le matérialisme, les différentes formes de consommation, la
construction identitaire et les valeurs des individus dans un environnement
social incertain ? Que penser de la socialisation économique et des questions
de société que pose le matérialisme ? Telles sont les questions fondamentales
posées dans cet essai qui nous permettront de mettre en évidence la logique et
la dynamique du matérialisme ordinaire dans la vie quotidienne.
Des prolongements à cet ouvrage pourront être trouvés sur le site www.culture-
materielle.com.
*[XIXe]: Dix-neuvième
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